Lecture
Je vous ai appelé pour vous offrir mon cadeau de Noël tout enrubanné
c’était un livre érotique ancien, joliment illustré, racontant le parcours initiatique d’une jeune femme rebelle,que j’avais longuement cherché chez les bouquinistes,
je voulais qu’il vous plaise
je voulais vous plaire
Vous me l’avez pris des mains en me remerciant d’un sourire à peine esquissé
Lassie, ton présent ne t’exonère pas du don de toi, il ne suffit pas de me le mettre en les mains, tu ne peux t’extraire et rester spectatrice
Je vous ai alors proposé de vous en faire la lecture
Vous m’avez opposé un refus sec et, ordonné de me dévêtir
Lassie je ne veux voir ni ton regard ni ton visage, offre moi juste la vue de ta croupe et de tes orifices, je ne veux voir que cela, le réceptacle que tu es,
offre moi ce réceptacle oui, choisis ta mise en scène
Je me suis étendue sur ce lit, j’ai pris mes chevilles dans les mains tout contre mon visage, la croupe renversée, ouverte, exposée, exhibant ma fente lisse un peu humide et mon anus sombre
Tu te tais, tu te tiens immobile, le moindre geste sera puni
Vous avez approché une chaise du lit, fait pivoter mon cul vers le halo de lumière sans vous préoccuper de mon confort, ouvert le livre dans vos mains et entrepris la lecture avec détachement, nous me racontiez lentement :
cet homme menait cette femme orgueilleuse, qu’il entendait mater, à une soirée d’affaire très ennuyeuse ;
sans un mot il l’installa sur une table assez basse, agenouillée, le cul en l’air au bord de la table, les seins écrasés sur le bois ciré, les bras croisés et repliés sous son menton, le visage dans le vide sur l’autre bord de la table
Votre voix était neutre
Vous me racontiez comment il passa un écriteau autour de son cou, où il écrivit au feutre noir « elle se la pète », puis comment il lui a enduit les fesses et la chatte d’huile, et libéré sa masse de cheveux noirs sur son dos et dans son cou ; il lui avait intimé l’ordre de rester muette
Vous vous êtes interrompu
Lassie, tes lèvres s'empourprent et gonflent... la lecture te plait ?
Je n'ai pas répondu, pas bougé, je percevais l'humidité poisseuse de mon con
Vous avez posé votre main à l’entrée de mon con, l’y avez plongé, puis vous avez tourné la page de votre doigt trempé et luisant
Vous avez repris votre lecture :
les hommes discutaient affaire dans les fauteuils un peu plus loin ; personne ne faisait attention à elle, elle était là, comme un objet, juste observée de temps en temps par des yeux durs
l’un se levait, venait se placer au bord de la table , ouvrait son pantalon et de sa queue raide la pénétrait très vite dans sa fente, comme on se soulage, en continuant à parler par dessus son épaule ; la femme ne bougeait pas, ses seins s’écrasaient un peu plus sur la table dans le va et vient du sexe en elle ;
l’homme jouissait en poussant sur son pubis puis se retirait, venait près de son visage essuyer sa queue dans sa chevelure sans la regarder et repartait s’asseoir
d’autres l’imitèrent, à leur tour, tous la baisaient ainsi, en con, en cul ou dans sa bouche
Vous avez marqué une pause, vous vous êtes levé pour faire coulisser un gros godemiché dans mon sexe déjà ouvert par les mots du livre, vous l’avez planté bien profond et l’avez laissé en place
puis vous vous avez repris votre livre :
parfois l’un en bouche, l’autre en cul en même temps ils continuaient à converser au-dessus de son ventre
la jeune femme était remplie, débordait de foutre blanc et visqueux de tous ses orifices
ses cheveux noirs étaient blancs de sperme
elle abdiquait de sa fierté sous ces assauts qui l’ignoraient, qui jamais ne cherchaient son regard
vous m’avez entendue gémir faiblement, j’étais au supplice ; la description de cette femme soumise m’excitait, j’avais envie de me branler avec le godemiché mais je redoutais votre colère
vous avez inspecté l’état de ma croupe et de mon sexe, tâté mes orifices, vérifié l’ouverture des mes orifices et vous m’avez claqué les fesses en m’ordonnant de me taire
Lassie , tu te reconnais dans cette femme, parce que tu es orgueilleuse bien que je t’ai enseigné la soumission et l’humilité ; ta cyprine de petite salope coule de ta fente qui n’a , elle , aucune fierté
c’est ainsi que je t’aime, furieuse d’aimer obéir et de n’être plus que sujet, l’esprit vaincu, vidé de toute velléité d’exister autrement que par le don de toi que tu me consens
vous avez pris le gros ruban rouge de la boite du livre, vous en avez entouré mes reins, ficelé ma croupe et noué le nœud au-dessus de mes cuisses
vous avez délié mes poignets de mes chevilles, installé le livre dans mes mains au-dessus de mes yeux et exigé que je poursuive la lecture sans aucune émotion, d’une voix atone
vous êtes venu tout contre mon cul et lorsque j’ai commencé à lire vous avez posé votre gland épais et dur sur mon anus
Je me suis concentrée sur les lettres et les mots du livre, j'ai ânonné d'une voix blanche alors que vous vous enfonciez dans mes entrailles, profondément.
Merci à toi pour ces mots, ces sensations !!!